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 Brisēís-Geōrgía × Coeur contre coeur, le coeur bat plus vite, comme sous l'emprise de la peur.

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athéna
P. Brisēís-Geōrgía Vasili
P. Brisēís-Geōrgía Vasili
athéna

❧ lettres d'amour envoyées : 63
❧ ton arrivée à athènes : 03/12/2011

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MessageSujet: Brisēís-Geōrgía × Coeur contre coeur, le coeur bat plus vite, comme sous l'emprise de la peur.   Brisēís-Geōrgía × Coeur contre coeur, le coeur bat plus vite, comme sous l'emprise de la peur. EmptySam 10 Déc - 18:04



perséphone brisēís-geōrgía vasili

    FEAT. CANDICE ACCOLA



© crédits.


▬ Age ; 22 ans
▬ Activité/profession ; Serveuse dans un café, le temps d'installer son bureau pour exercer son métier de photographe.
▬ Hobbies ; Lecture, danse, sorties entre amis et promenade dans le parc.

    ▬ Statut amoureux ; C'est compliqué
    ▬ Orientation sexuelle ; Hétérosexuelle
    ▬ Groupe ; Enfant de Sysiphe




♣ TU TE RAPPELLES DE TON PREMIER AMOUR ?
♣ Mon premier amour bien sûr. Luke, un jeune anglais. Nous avions seize ans et tout partagé, jusqu'à notre innocence respective.
    ♣ TU CROIS AU COUP DE FOUDRE ?
    ♣ J'aime aimer, et n'aspire plus qu'à l'amour. Le vrai. Au fond de moi, j'ai toujours rêvé du prince charmant, mais je ne suis pas dupe, j'y crois dur comme fer à l'amour, mais je ne suis pas naïve au point de sortir avec les mauvaises personnes. Cependant les sentiments ne se contrôle pas, pas vrai ?





▬ Age ; 14 ans
▬ Prénom ; Anna
▬ Pseudo ; Aaw.
▬ Remarques ; Nothing ;)

    ▬ Où as tu connu le forum ; Je suis une des admins
    ▬ Jours de connexion ; 7/7
    ▬ Niveau de Rp ; Généralement 20 lignes
    ▬ Code du Règlement ; OK


© Tous droits réservés.
Forum & Concept by Pauline.


Dernière édition par P. Brisēís-Geōrgía Vasili le Dim 8 Jan - 9:24, édité 5 fois
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athéna
P. Brisēís-Geōrgía Vasili
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athéna

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MessageSujet: Re: Brisēís-Geōrgía × Coeur contre coeur, le coeur bat plus vite, comme sous l'emprise de la peur.   Brisēís-Geōrgía × Coeur contre coeur, le coeur bat plus vite, comme sous l'emprise de la peur. EmptyJeu 29 Déc - 12:34


l'histoire ;



Comme le vilain petit canard, j’étais rejetée, exclue et au final, brisée. Mais tout comme dans cette histoire de Hans Christian Andersen, un beau jour, tout a changé. J’ai changé. Retour sur l’incompréhensible métamorphose du petit et grotesque canard que j’étais en gracieux cygne blanc que j’avais toujours rêvé de devenir.

Je suis née le premier jour du mois de Mai mille neuf cents quatre-vingt-neuf à Athènes ; plus précisément dans l’hôpital privé dans lequel, jadis, travaillai mon père. Ce dernier se nommait Kostas et était de nationalité Grecque. Il s’éprit de ma mère Olivia, une jeune anglaise, alors qu’il suivait des études de médecines à Londres. Mon père étant médecin et ma mère journaliste, je vécu et vis toujours d’ailleurs dans une situation aisée et confortable, sans manquer de rien, si ce n’est d’amour. Mes parents étaient très pris par leur travail, si bien qu’ils finirent par engager une gouvernante pour veiller sur moi.
Je ne me souviens pas très bien de mes premières années de vies, comme chacun d’entre nous, cependant, je garderais toujours un mauvais souvenir de mes années passées à l’école élément et au collège dans la capitale de mon pays.
A l’époque, on me surnommait ‘Le Monstre’ ou alors mes camarades de classes me désignaient du doigt en ricanant bêtement, tel un troupeau d’hyènes dépravées. Jusqu’à mes treize ans, j’eus à subir diverses moqueries, bizutages et autres farces idiotes qui, irrémédiablement, me forçait à me renfermée, m’isoler des autres, comme un ermite. Alors, au fil des jours, je m’étais forgée une carapace, malheureusement, celle-ci n’était pas assez solide et bien que j’essayais de passer outre les remarques blessantes, mes espoirs était vain. J’étais comme un verre de cristal, fragile. Et j’ajouterais peut-être trop susceptible.
Néanmoins, il est vrai que je n’avais pas un physique avantageux à l’époque. Bien que mes parents me trouvaient un visage intéressant. Svetlana, ma gouvernante, était de la vieille époque, très vieux-je et cela se faisait ressentir sur ma garde-robe. Je portais un appareil dentaire, et j’avais beau être fine, je ne comptais pas parmi les filles les plus grandes de ma classe.
Les personnes qui osaient me parler se faisait donc rares. S’ajoute à mon apparence de girl next door précoce le mépris que certains ressentaient envers moi. Car si mes parents étaient peu présent dans ma vie quotidienne, ils ne négligeaient pas mon éducation ; je me devais donc, pour leur faire honneur soi-disant, me surpasser obtenir des résultats excellents afin que plus tard, je puisse intégrer la société en parfaite citoyenne. Mais quand bien même je tentais de m’intégrer, j’étais systématiquement rejetée. Il faut dire qu’à partir de mes dix ans, j’avais cessé de chercher de la compagnie, préférant m’enfermée dans une cabine des toilettes pour filles et lire un livre durant tout la pause du déjeuner plutôt que d’essayer vainement de me faire apprécier et d’être sujette continuellement à des moqueries.
En parlant de moqueries, c’était toujours la même bande qui me prenait pour tête de turc. Je les voyais comme étant l’élite de mon collège, aimés de tous. Mais au final, qui étaient-ils, au fond d’eux ? Je ne pourrais vous répondre. Mais j’étais leur cible favorite. Etait-ce donc à cela que j’étais destinée ? A errer péniblement, le silence pour seul compagnon ? J’avoue enfin que j’étais prête à le croire lorsque j’eus douze ans, mais un seul choix peut changer le court de toute une vie. Peut-être que le bonheur avait enfin décidé que c’était mon tour d’être heureuse ?




Peu avant mon anniversaire (celui de mes treize ans), mon père, Kostas, reçut une lettre de l’un de ses amis de fac anglais avec lequel il avait gardé contact. Celui-ci lui proposait de le rejoindre en Angleterre et de travailler avec lui en tant que partenaire dans un cabinet privé, comme ils le voulaient lors de leur rencontre. Ma mère, elle, était enchantée. Prétextant que ce serait l’occasion de revoir sa famille et son pays natal. C’est donc durant l’été deux milles deux que nous avons déménagé vers le Royaume-Uni et que mes chers ascendants avaient décidés de m’envoyer dans un internat pour jeune filles au Nord du pays. Je voyais cette occasion parfaite pour tout recommencer à zéro. A commencer par ma garde-robe. Fini les chaussette montantes et les pulls tricotés mains ! De plus je devais porter un uniforme, ce qui diminua considérablement le risque qu’on se foute de ma gueule.
Que cela relève du paranormal ou du miracle, peu m’importe, je fus agréablement surprise lors de mon arrivée. Les filles m’ont chaleuresement accueillie à bras ouvert, comme si je faisais déjà partie de leur fratrie. Je découvris peu à peu ma véritable personnalité, quelqu’un de souriant, jovial et borné tout en essayait bien sûr d’oublier mes mauvaises expériences.
Ma mère étant d’origine britannique, l’anglais était comme une seconde langue maternelle pour moi, cependant, mes amies –car j’étais parvenue à m’en faire !- me fasait gentiment savoir que je devais travailler mon accent. Au contraire, lors de nos sorties hebdomadaires le week-end, les garçons le trouvait mignon. C’était d’ailleurs durant l’une de ces sorties que j’ai fait la rencontre de Luke, mon premier petit copain, également le premier à qui je me suis offerte et le premier pour lequel j’ai pleuré lorsqu’il m’a annoncé la rupture.
Personnellement, je n’avais pas particulièrement fait attention, mais lorsque je rentrais à la maison pour les vacances, mes parents me trouvaient changée, comme si je m’embellissait avec le temps. Ce qui apparemment n’était pas entièrement faux.
Ces cinq années passées en Angleterre m’ont transformée. Elles étaient le cocon nécessaire à ma métamorphose de chenille en papillon. Et j’en étais devenue fière. Après toutes ces années où j’avais la terrible impression que la vie ne valait pas la peine d’être vécue, que le bonheur lui-même me voulait du mal, je tenais ma revanche. Et je n’étais pas prête de la lâcher.
Le trimestre suivant ma majorité et la fin de mes années lycées, je suivis des études de photographie à la faculté d’Art de Londres, avant de rejoindre mon pays natal, la Grèce. De retour à Athènes, je voulais prendre un peu de recul avant de me lancer réellement dans la vie active en tant que photographe indépendante. J’ai donc trouvé un job de serveuse dans un café, attendant de trouver le local parfait pour établir ma profession. Je voulais montrer à tous ce que je suis devenue et ce dont je suis aujourd’hui capable. Attention à vous, Perséphone Briséis-Georgia Vasili est dans la place !

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